Avant de répondre à cette question, il convient dans un premier temps de comprendre ce dont on parle et de définir le terme de coordination motrice.
QU’EST-CE QU’UN TROUBLE DE LA COORDINATION MOTRICE ?
Un “trouble de développement de la coordination” (TDC) peut aussi être appelé “trouble de l’acquisition de la coordination” ou encore “dyspraxie développementale”. La perception du corps, également appelée schéma corporel, fait référence à notre conscience et à notre représentation mentale de notre propre corps. Cela inclut la connaissance de la taille, de la forme et de la position de nos différentes parties corporelles. Une personne souffrant d’un tel trouble a du mal à anticiper, élaborer, réaliser et contrôler ses mouvements volontaires coordonnés de façon fluide.
Le cerveau, là où apparaissent les troubles neurodéveloppementaux
Les troubles neurodéveloppementaux (TND) peuvent être d'origine génétique ou épigénétique. C’est-à-dire qu’ils peuvent provenir d’anomalies chromosomiques génétiques émanant de leurs géniteurs ou de leurs prédécesseurs ; de problèmes rencontrés par la mère durant la grossesse ou l’accouchement ; d’expositions à des produits toxiques par la mère ou l’enfant lors de la grossesse ou après ; des traumatismes cérébraux, etc…
En fonction des zones cérébrales touchées et des séquelles observées, ils peuvent être nommés TDA/H (trouble du déficit de l’attention avec ou sans hyperactivité) ; troubles DYS (dyslexie, dyspraxie, dysorthographie, dysgraphie…) ; TSA (trouble du spectre de l’autisme) ; syndromes, etc.
Ils se constatent au quotidien par la personne qui en souffre et/ou par ses parents quand des difficultés quotidiennes apparaissent. Ces difficultés peuvent être d’ordre comportemental ou émotionnel ; liées à la coordination ou aux interactions sociales.
Le stress est à la base une réaction essentielle et saine du corps. Il permet de libérer de l’énergie (notamment de l’adrénaline et du cortisol appelés les “hormones du stress”) pour fuir ou combattre une situation dangereuse ou menaçante pour sa sécurité. C’est également le stress qui nous permet de réagir vite quand notre enfant tombe ou se noie, par exemple. Ce type de stress, qui disparaît lorsque la situation est réglée et s’est calmée, est appelé “stress ponctuel”. Là où le stress devient néfaste est lorsqu’il est plus constant, plus récurrent. On parle alors de “stress chronique”; ce qui est fréquemment observé chez l’enfant DYS.
Chercher à prodiguer un parcours personnalisé pour une prise en charge plus adaptée à chaque personne. Cet objectif est celui du neurothérapeute dès sa première rencontre avec les parents de l’enfant TDAH présentant des difficultés d'attention et des troubles du sommeil.
Le Neurofeedback est une méthode reconnue efficace depuis 2014 par l’Association Américaine de pédiatrie qui regroupe 64.000 pédiatres. La même année, la Haute Autorité de la Santé en France (HAS) reconnaît le TDA/H comme une entité et publie ses recommandations.
Le sommeil joue un rôle central pour les fonctions cognitives, les apprentissages et la consolidation de la mémoire. Une privation de sommeil ou un sommeil perturbé affectent les fonctions cognitives, émotionnelles et physiques. Elles peuvent entraîner une aggravation de l’expression des symptômes du TDAH.
Enfants DYS et développement : comprendre et aider votre enfant à mieux grandir
Vous voyez votre enfant grandir et évoluer jour après jour et cela est une grande source de bonheur pour vous.
Toutefois, si votre enfant rencontre des troubles dans ses apprentissages, le voir se développer sereinement dans son milieu scolaire devient plus compliqué : votre enfant a du mal à se concentrer, à focaliser son attention, à lire, à écrire, à restituer ses connaissances, il peut être atteint de troubles dys.
Sa confiance en lui s’amenuise, sa motivation à aller à l’école baisse fortement et sa bonne humeur peut se voir remplacée par d’autres émotions beaucoup moins agréables et joyeuses.
INSTITUT NEUROSENS, LA FORMATION DE RÉFÉRENCE EN BIOFEEDBACK ET NEUROFEEDBACK
Fondé en 2017, l’Institut Neurosens est un organisme de formation certifié Qualiopi. Depuis 2020, toutes les formations peuvent être effectuées en distanciel, ce qui permet à tout l’espace francophone mondial d’en bénéficier.
Des outils pour apprendre à s’auto contrôler, s’auto réguler et se soulager
Le Biofeedback mesure les constantes physiologiques dont on n’a pas conscience : température, variabilité de la fréquence cardiaque, activité musculaire, électrodermale. Le neurofeedback s’applique, de son côté, à la lecture de l’activité cérébrale afin de corréler les mesures à l’état de la personne. Grâce aux capteurs...
C’est grâce à l’évolution des neurosciences depuis quelques décennies que la précocité de dépistage d’un trouble neurodéveloppemental est désormais possible. Dans de nombreux pays, c’est même devenu un enjeu de santé publique. Parallèlement, le Neurofeedback est une méthode reconnue efficace depuis 2012, par l’Association Américaine de pédiatrie qui regroupe 64.000 pédiatres. Du fait même, de nombreux praticiens recommandent le Neurofeedback pour aider les enfants qui présentent un trouble neurodéveloppemental. Dès lors, une question se pose. Le Neurofeedback pédiatrique, c’est à partir de quel âge ?
Claude Bernard donnant une leçon de physiologie (d’après un tableau de Léon Lhermitte, 1889)
La Pratique factuelle du Biofeedback et du Neurofeedback représente à l’évidence un atout majeur pour l’utilisateur de ces méthodes. Au fil du temps, les recherches cliniques sont de plus en plus nombreuses et la qualité de leur méthodologie ne cesse de s’améliorer.
La prise en charge pluridisciplinaire de la douleur chronique recourt de plus en plus souvent au Biofeedback et au Neurofeedback. Les résultats des travaux récents en neuroanatomie et en neurophysiologie confirment le bien fondé de ces techniques. Leur efficacité présente de plus en plus d’intérêt compte tenu de la complexité de l’entité nosologique de la douleur chronique.
L’apprentissage cérébral par Neurofeedback est une méthode bien codifiée. De très nombreux praticiens l’utilisent avec succès depuis une trentaine d’années dans différents domaines. L’apport des neurosciences confirme l’intérêt pour cette méthode d’apprentissage cérébral par Neurofeedback.
Le Neurofeedback pour le stress post-traumatique: en 1980, la reconnaissance du syndrome de stress post-traumatique (SSPT) est obtenue sous la pression d’un groupe de vétérans du Vietnam et de plusieurs psychothérapeutes. Le Neurofeedback pour le stress post-traumatique fait partie des moyens rapidement utilisés.
Le Neurofeedback EEGq connait actuellement un regain d’intérêt et conjointement, le développement cérébral atypique de l’enfant Dys s’avère être le plus souvent la règle. Cette une méthode permet de régulariser le fonctionnement cérébral et elle est démontrée efficace pour le TDAh. Des professionnels de nombreux pays anglo-saxons l’utilisent pour améliorer les différents troubles du développement chez les enfants.
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