C’est grâce à l’évolution des neurosciences depuis quelques décennies que la précocité de dépistage d’un trouble neurodéveloppemental est désormais possible. Dans de nombreux pays, c’est même devenu un enjeu de santé publique. Parallèlement, le Neurofeedback est une méthode reconnue efficace depuis 2012, par l’Association Américaine de pédiatrie qui regroupe 64.000 pédiatres. Du fait même, de nombreux praticiens recommandent le Neurofeedback pour aider les enfants qui présentent un trouble neurodéveloppemental. Dès lors, une question se pose. Le Neurofeedback pédiatrique, c’est à partir de quel âge ?
Nous allons parler aujourd’hui du placebo sans tromperie.
Rappelez-vous! Dès le premier article sur ce thème, nous avons proposé les sept raisons de considérer l’effet placebo dans le Neurofeedback. Cela va peut-être vous surprendre, mais nous avons l’obligation:
De fournir des informations précises sur l’effet placebo à tout utilisateur de la méthode. Cela n’entrave absolument pas les bienfaits de la méthode!
Lors du dernier article, nous y avons même ajouté les «différentes facettes de l’effet placebo».
C’EST BIEN ÉTRANGE!
La constatation suivante est bien plus stupéfiante encore:
Cet effet peut fonctionner, même si le sujet sait qu’il a reçu un médicament factice.
Le stress est à la base une réaction essentielle et saine du corps. Il permet de libérer de l’énergie (notamment de l’adrénaline et du cortisol appelés les “hormones du stress”) pour fuir ou combattre une situation dangereuse ou menaçante pour sa sécurité. C’est également le stress qui nous permet de réagir vite quand notre enfant tombe ou se noie, par exemple. Ce type de stress, qui disparaît lorsque la situation est réglée et s’est calmée, est appelé “stress ponctuel”. Là où le stress devient néfaste est lorsqu’il est plus constant, plus récurrent. On parle alors de “stress chronique”; ce qui est fréquemment observé chez l’enfant DYS.
QU’EST-CE QUE LE TOC (TROUBLE OBSESSIONNEL COMPULSIF) ?
Le Trouble Obsessionnel Compulsif, communément appelé TOC, constitue un état psychologique persistant. Durant cet état, une personne est confrontée à des pensées envahissantes et récurrentes, également connues sous le nom d’obsessions. Ces pensées sont souvent incontrôlables et peuvent générer une anxiété significative. Parallèlement, les individus atteints de TOC se livrent à des comportements répétitifs, appelés compulsions, dans le but de soulager cette anxiété.
Le Trouble Oppositionnel avec Provocation (TOP) est un trouble fréquemment observé chez les enfants, caractérisé par un schéma de comportement persistant et défiant.
Il est souvent associé au Trouble du Déficit de l’Attention avec Hyperactivité (TDAH), ce qui rend la prise en charge de ces enfants encore plus complexe.
L’épidémiologie vise à comprendre comment et pourquoi certaines maladies se développent et se propagent au sein des populations. Elle a pour but global de comprendre les problèmes de santé au sein des populations ainsi que les facteurs qui les influencent.
« Commencer par dire que c’est la langue qui produit la voix, ça parait bien étrange…Cette discussion est un peu trop confuse pour moi, désolée, mais vous mélangez voix, langage et communication, et votre propos ne me convainc pas »
LES RAPPORTS ENTRE L’ORGANE ET LA FONCTION
Cette remarque d’une orthophoniste, professionnelle de la rééducation du langage, fait suite à la diffusion de cette vidéo sur un groupe FB. De fait, il me semble très pertinent de prendre le temps d’y répondre. Cette entrevue a été effectivement tournée de façon impromptue, durant une pause lors d’un congrès à Lyon, il y a quelques mois. Il y a donc de nombreuses points à approfondir pour étayer un point de vue solide sur un sujet aussi complexe.
Le cerveau et le corps communiquent constamment. En fait, c'est une conversation que vous ne pouvez pas vous permettre d'ignorer. — Deepak Chopra, pionnier international dans le domaine de la médecine intégrative.
Dans cet article, nous avons décidé de vous partager le témoignage d’une professionnelle du secteur de la santé : Marion, Sophrologue certifiée RNCP (2021) et Neurothérapeute formée à l’Institut Neurosens (2022). Pour elle, la neurothérapie est bien plus qu’une simple reconversion professionnelle ; c’est une vocation, un engagement profond, une manière de mettre ses compétences au service de ceux qui en ont besoin.
Marion a déjà animé un atelier virtuel au sein du Cercle des Neurothérapeutes (réservé aux membres en activité), en octobre 2023, sur le thème : La Sophrologie, le Biofeedback et le Neurofeedback EEGq : un triptyque puissant !C’est avec grand plaisir que nous lui donnons la parole aujourd’hui !
La pratique du Neurofeedback EEGq se base sur une évaluation initiale par électroencéphalographie quantitative. Cet examen permet de mesurer pour comprendre. Il est essentiel pour fixer un protocole d’entraînement cérébral, précis et ciblé par rapport aux objectifs. Cette condition est absolument indispensable à la réalisation du neurofeedback selon les “bonnes pratiques”.
Dans ce domaine captivant et complexe du développement infantile, Goethe a judicieusement observé dans son œuvre ‘Faust’ que cette perspective se révèle étonnamment pertinente dans notre compréhension actuelle des mouvements du fœtus et de leur impact sur le développement neurologique et cognitif.
Ces mouvements, bien plus que de simples gestes physiques, sont les premiers messagers d’un univers en gestation, révélant des aspects essentiels du développement précoce.
Face à la complexité du Trouble Déficitaire de l’Attention avec ou sans Hyperactivité (TDAH), les spécialistes cherchent sans relâche à affiner les méthodes de diagnostic et de traitement. Au milieu de ce dédale scientifique, l’EEG quantitatif (EEGq) apparaît comme un phare prometteur, malgré l’absence de biomarqueurs unanimement reconnus à ce jour. Alors que les pratiques cliniques continuent de s’appuyer sur des évaluations comportementales éprouvées, le neurofeedback EEGq ouvre de nouvelles perspectives, en particulier face au lien intriguant entre le TDAHet les troubles du sommeil. Cet article plonge au cœur des dernières avancées en neurosciencespour explorer comment le neurofeedback EEGq pourrait transformer l’approche thérapeutique du TDAH, en offrant un nouveau regard sur les enjeux neurodéveloppementaux et en remettant en question certaines idées reçues. Rejoignez-nous dans cette exploration captivante pour mieux comprendre les promesses et les limites de cette technologie révolutionnaire.
L’apprentissage cérébral par Neurofeedback est une méthode bien codifiée. De très nombreux praticiens l’utilisent avec succès depuis une trentaine d’années dans différents domaines. L’apport des neurosciences confirme l’intérêt pour cette méthode d’apprentissage cérébral par Neurofeedback.
Drôle d’entrée en matière pour mon premier article du blog du neurofeedback, me direz-vous. Je vous l’accorde.
Preuve en serait cette question qui émane d'une demande d'information qui m’a été adressée aujourd’hui:
Bonjour, j'ai fait énormément de recherches sur le vrai biofeedback. J'ai cherché sur des annuaires. A chaque fois on y parle de ‘neuroptimal’. Je ne sais pas si c'est la même chose. Avez vous des contacts, praticiens SÛRS pratiquant le neurofeedback s'il vous plaît dans les Départements du.... ? Je vous remercie
- Cette question exige une réponse URGENTE! Je dois donc en tout premier lieu y répondre
Chercher à prodiguer un parcours personnalisé pour une prise en charge plus adaptée à chaque personne. Cet objectif est celui du neurothérapeute dès sa première rencontre avec les parents de l’enfant TDAHprésentant des difficultés d'attention et des troubles du sommeil.
Le Neurofeedback est une méthode reconnue efficace depuis 2014 par l’Association Américaine de pédiatrie qui regroupe 64.000 pédiatres. La même année, la Haute Autorité de la Santé en France (HAS) reconnaît le TDA/H comme une entité et publie ses recommandations.
Le sommeil joue un rôle central pour les fonctions cognitives, les apprentissages et la consolidation de la mémoire. Une privation de sommeil ou un sommeil perturbé affectent les fonctions cognitives, émotionnelles et physiques. Elles peuvent entraîner une aggravation de l’expression des symptômes du TDAH.
Le Neurofeedback EEGq connait actuellement un regain d’intérêt et conjointement, le développement cérébral atypique de l’enfant Dys s’avère être le plus souvent la règle. Cette une méthode permet de régulariser le fonctionnement cérébral et elle est démontrée efficace pour le TDAh. Des professionnels de nombreux pays anglo-saxons l’utilisent pour améliorer les différents troubles du développement chez les enfants.
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