"TDAH et Parentalité : une complicité familiale indispensable"
Imaginer un chemin tout tracé pour son enfant, parsemé de joies simples et d’étapes mémorables, est un rêve naturel pour tout parent.
Imaginer un chemin tout tracé pour son enfant, parsemé de joies simples et d’étapes mémorables, est un rêve naturel pour tout parent.
Vous voyez votre enfant grandir et évoluer jour après jour et cela est une grande source de bonheur pour vous.
Toutefois, si votre enfant rencontre des troubles dans ses apprentissages, le voir se développer sereinement dans son milieu scolaire devient plus compliqué : votre enfant a du mal à se concentrer, à focaliser son attention, à lire, à écrire, à restituer ses connaissances, il peut être atteint de troubles dys.
Sa confiance en lui s’amenuise, sa motivation à aller à l’école baisse fortement et sa bonne humeur peut se voir remplacée par d’autres émotions beaucoup moins agréables et joyeuses.
La prise en charge pluridisciplinaire de la douleur chronique recourt de plus en plus souvent au Biofeedback et au Neurofeedback. Les résultats des travaux récents en neuroanatomie et en neurophysiologie confirment le bien fondé de ces techniques. Leur efficacité présente de plus en plus d’intérêt compte tenu de la complexité de l’entité nosologique de la douleur chronique.
Développée aux États-Unis dans les années 1995, la cohérence cardiaque (ou résonance cardiaque, coherent breathing ou heart coherence en anglais) se caractérise par un phénomène de balancier physiologique résultant de la synchronisation de l’activité des systèmes nerveux sympathique et parasympathique.
La cognition incarnée se nomme également “embodiment”. Elle fait référence à nos pensées (via la cognition), nos sentiments (via les émotions) et nos comportements (via le corps).
C’est un concept issu de la psychologie cognitive. Il sert à étudier notre manière d’interagir avec le monde extérieur en fonction de nos capacités physiques, mentales et émotionnelles.
Ce qui motive tous ces éléments est la façon dont nous nous mouvons dans notre environnement et dont nous ressentons les choses et les événements.
Avant de répondre à cette question, il convient dans un premier temps de comprendre ce dont on parle et de définir le terme de coordination motrice.
Un “trouble de développement de la coordination” (TDC) peut aussi être appelé “trouble de l’acquisition de la coordination” ou encore “dyspraxie développementale”.
La perception du corps, également appelée schéma corporel, fait référence à notre conscience et à notre représentation mentale de notre propre corps. Cela inclut la connaissance de la taille, de la forme et de la position de nos différentes parties corporelles.
Une personne souffrant d’un tel trouble a du mal à anticiper, élaborer, réaliser et contrôler ses mouvements volontaires coordonnés de façon fluide.
Dans cet article, nous sommes ravis de vous présenter le témoignage de Magaly Masson Mauen, technicienne en imagerie médicale et neurothérapeute.
Selon une étude publiée le 21 novembre 2023 dans eLife, les professeurs Tamar Makin (de l’Université de Cambridge) et John Krakauer (de l’Université Johns Hopkins) remettent en question le fait que le cerveau se réorganise tout seul, sans conscience active, en réponse à une blessure.
Ils affirment plutôt que le cerveau est entraîné à utiliser des capacités préexistantes, mais en latence.
Par exemple, on pensait qu’en cas de perte de la vue, le cortex visuel pouvait être “recâblé” pour traiter les sons. Il faciliterait ainsi l’utilisation de l’écholocation, tandis que des individus ayant subi un accident vasculaire cérébral pouvaient réutiliser d’autres zones du cerveau pour reprendre le contrôle des membres.
Claude Bernard donnant une leçon de physiologie
(d’après un tableau de Léon Lhermitte, 1889)
La Pratique factuelle du Biofeedback et du Neurofeedback représente à l’évidence un atout majeur pour l’utilisateur de ces méthodes. Au fil du temps, les recherches cliniques sont de plus en plus nombreuses et la qualité de leur méthodologie ne cesse de s’améliorer.
La psychophysiologie est l’étude des rapports entre l’activité physiologique et le psychisme.
Elle s’intègre aux sciences cognitives et se concentre sur 2 mécanismes physiologiques :
Elle est initialement axée sur :
La recherche évolue désormais vers :
Depuis son émergence, le biofeedback en France a traversé plusieurs phases significatives.
A partir du développement d’un carrefour transdisciplinaire entre plusieurs courants scientifiques ayant comme résultante la neuro psychophysiologie et l’évolution technologique de la cybernétique, et des débuts de l’informatique de la période de l’après-guerre, le biofeedback a bénéficié d’un intérêt initial marqué durant le boom technologique des années 70.
Que ce soit en France, avec l’invention du concept de l’EEG quantitatif par Léonid Goldstein du Collège de France et le Pr Antoine Rémond directeur du Laboratoire d’Électroencéphalographie et de Neurophysiologie Appliquée-LENA à La Salpetrière, ou aux USA avec les débuts de l’AAPB, Association for Applied Psychophysiology and Biofeedback, les débuts étaient prometteurs.
Le Biofeedback, bien que populaire outre-Atlantique, reste méconnu en France. Toutefois, l’Europe elle-même est le berceau de ces méthodes novatrices. Leurs origines remontant à plus d’un siècle, s’inspirant des travaux de Carl Gustav Jung.
Ces méthodes, éclairées par les neurosciencesactuelles, établissent un pont entre passé et présent. Elles révèlent comment les approches antérieures peuvent être modernisées.
Le Neurofeedback pour le stress post-traumatique: en 1980, la reconnaissance du syndrome de stress post-traumatique (SSPT) est obtenue sous la pression d’un groupe de vétérans du Vietnam et de plusieurs psychothérapeutes. Le Neurofeedback pour le stress post-traumatique fait partie des moyens rapidement utilisés.
C’est grâce à l’évolution des neurosciences depuis quelques décennies que la précocité de dépistage d’un trouble neurodéveloppemental est désormais possible. Dans de nombreux pays, c’est même devenu un enjeu de santé publique. Parallèlement, le Neurofeedback est une méthode reconnue efficace depuis 2012, par l’Association Américaine de pédiatrie qui regroupe 64.000 pédiatres. Du fait même, de nombreux praticiens recommandent le Neurofeedback pour aider les enfants qui présentent un trouble neurodéveloppemental. Dès lors, une question se pose. Le Neurofeedback pédiatrique, c’est à partir de quel âge ?
L’épidémiologie vise à comprendre comment et pourquoi certaines maladies se développent et se propagent au sein des populations. Elle a pour but global de comprendre les problèmes de santé au sein des populations ainsi que les facteurs qui les influencent.
L’être humain, dans sa complexité, est régulé par une variété de besoins. Ces besoins déterminent sa façon de penser, d’agir et d’évoluer.
Parmi eux, cinq besoins sont considérés comme essentiels pour le bien-être et l’épanouissement de tout être humain.
expérience animale
Nous voici rendus à la septième proposition exposées dans le premier article de cette série
«les 7 raisons pour lesquelles le placebo est si important quand on parle du Neurofeedback”
Le cerveau et le corps communiquent constamment. En fait, c'est une conversation que vous ne pouvez pas vous permettre d'ignorer.
— Deepak Chopra, pionnier international dans le domaine de la médecine intégrative.
« AU COMMENCEMENT ÉTAIT L’ACTION »
- GOETHE
Dans ce domaine captivant et complexe du développement infantile, Goethe a judicieusement observé dans son œuvre ‘Faust’ que cette perspective se révèle étonnamment pertinente dans notre compréhension actuelle des mouvements du fœtus et de leur impact sur le développement neurologique et cognitif.
Ces mouvements, bien plus que de simples gestes physiques, sont les premiers messagers d’un univers en gestation, révélant des aspects essentiels du développement précoce.
Face à la complexité du Trouble Déficitaire de l’Attention avec ou sans Hyperactivité (TDAH), les spécialistes cherchent sans relâche à affiner les méthodes de diagnostic et de traitement. Au milieu de ce dédale scientifique, l’EEG quantitatif (EEGq) apparaît comme un phare prometteur, malgré l’absence de biomarqueurs unanimement reconnus à ce jour. Alors que les pratiques cliniques continuent de s’appuyer sur des évaluations comportementales éprouvées, le neurofeedback EEGq ouvre de nouvelles perspectives, en particulier face au lien intriguant entre le TDAHet les troubles du sommeil. Cet article plonge au cœur des dernières avancées en neurosciencespour explorer comment le neurofeedback EEGq pourrait transformer l’approche thérapeutique du TDAH, en offrant un nouveau regard sur les enjeux neurodéveloppementaux et en remettant en question certaines idées reçues. Rejoignez-nous dans cette exploration captivante pour mieux comprendre les promesses et les limites de cette technologie révolutionnaire.